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Le théâtre aux mille arabesques

Dans ce théâtre aux mille arabesques,

Prenant parfois des airs cauchemardesques,

On pleure on se noie,

On rit on se voit.

 

Le miroir des illusions délusoires canularesque,

Fait valser le comédien de manière rocambolesque,

Et la foire aux enchères pas trop cher,

Vend à rabais des rêves éphémères.

 

Tel un somnambule un peu clownesque,

Le comédien s’oubli dans des scénarios grotesques,

Mais seulement pour sortir de cet apparent enfer,

En se dénudant de tout artifice et de son armure de fer.

 

Il s’éveillera enfin à la nature feuilletonesque,

De la sérieuse trame de sa vie romanesque,

Pour révéler les fausses croyances qui le tenaient en proie,

En l’enchaînant à une identité limitée causant son émoi.

            

                                             

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